Dès le départ, la fermeture, bien que difficile, était présentée par les élus comme une décision responsable et nécessaire pour le village, seulement 1 750 habitants à l’année mais destination alpine de référence en France (plus de 20 000 lits touristiques). Il faut dire que la piscine des Aravis (devenue espace aquatique de La Clusaz par la suite), perchée sur un pierrier avec une vue surplombant le village, date de 1967 et qu’il était devenu nécessaire de la moderniser, tant pour diminuer les consommations énergétiques qu’améliorer l’offre proposée aux divers usagers.